Les autorités politiques et médicales prennent les décisions qui leur paraissent opportunes pour …juguler la pandémie de Coronavirus (Covid-19),
Nous sommes abreuvés de recommandations méritoires mais bien insuffisantes en relation aux connaissances scientifiques actuelles.
C’est encore aujourd’hui la phobie des microbes et la manie vaccinale (titre d’un ouvrage du Docteur Yves Couzigou – éditions Vie et Action – 1962). La désinformation sur les scandales financiers de l’industrie pharmaceutique et les impostures scientifiques dénoncées par Sylvie Simon dans son livre l’overdose vaccinale paru aux éditions Déjà, 1997), alimentent les informations quotidiennes des médias et cultivent la peur collective.
À la suite de ces auteurs, de nombreux médecins, chercheurs, journalistes d’enquête… ont critiqué les politiques de santé publique au service de l’industrie pharmaceutique et non pas dédiées à l’éducation et à la responsabilisation des citoyens.
Au-delà de tous les dogmes médicaux, nous proposons une vision plus interactive, plus écologique, plus pédagogique et plus efficace de la santé, en période d’incertitude et d’infection, à large échelle, entretenue par la consommation irréfléchie des aliments industrialisés. Par exemple,
- De la tomate… au ketchup industriel, il y a un monde de différence !
- De la pomme de terre… aux chips, il y a un monde de différence !
- De la pomme du verger… au jus de pomme concentré, il y a un monde de différence !
- Du lait de la ferme… au lait UHT, il y a un monde de différence !
- Du cochon de plein champ… à la charcuterie élaborée en partie de porc hors-sol, reconstitué, il y a un monde de différence !
La propagande médiatique, dirigée par des technocrates qui ont noyauté le pouvoir et l’économie dans les coulisses de la presse et de la politique, veut nous faire croire que refuser ce « modernisme », c’est revenir à l’époque de la vie des cavernes. Qui souhaite se vêtir de peaux de bêtes, s’éclairer à la lueur d’une bougie ?
Une propagande habile de l’industrie (qui par ses lobbyistes, noyaute les organismes de recherche, de santé, de décisions politiques) est à l’œuvre pour mentir et travestir la réalité.
Quelle est la réalité ?
Les pandémies atteignent les populations
- qui sont affaiblies par un système immunitaire déficient, par un manque d’hygiène, par des carences nutritionnelles en vitamines, minéraux, enzymes, et présentant une flore intestinale détruite par des médications agressives, utilisées sans discernement,
- qui vivent dans des conditions d’addiction de diverses natures (tabac, alcool, sucre, overdose de lait à tout âge, desserts sucrés à tous les repas, fritures omniprésentes, overdose quotidienne de céréales à gluten : pain, pâtes, semoule…), une malbouffe promue par l’industrie agroalimentaire.
- qui sont socialement isolées entre les quatre murs de leur logement ou abandonnées par l »éloignement de leur famille
- qui sont internées dans un établissement où ne sont proposés aucune activité physique naturelle ni aucun loisir créatif ni aucune occupation permettant de réduire le stress de l’isolement, de l’oisiveté.
- qui sont nourries par une alimentation industrielle privée de substances vivantes, or ces dernières rajeunissent les protéines circulant dans le sang et nettoient les cellules sénescentes qui se forment dans l’organisme.
- qui ne bénéficient -dans leur milieu confiné- d’aucune possibilité d’avoir du temps et/ou de l’espace pour méditer et communiquer avec un groupe qui reconnaît sa religiosité, ou avec une communauté de foi, quelle qu’elle soit.
La géroscience est en plein essor, mais présente -hélas- encore peu d’applications dans les établissements de gériatrie.
Le but de cette approche multidisciplinaire n’est pas de la quête de l’immortalité, mais de reculer le plus longtemps possible l’échéance de la maladie et de la perte d’autonomie.
- rajeunir les protéines circulant dans le sang
- nettoyer les cellules sénescentes qui se forment dans l’organisme
- choisir une activité physique qui favorise le développement de nouveaux capillaires sanguins et une plus grande oxygénation cérébrale
- pratiquer des loisirs créatifs plutôt que regarder la télévision. Les activités mentales quotidiennes diminuent le risque de démence et d’Alzheimer.
Les informations, qui suivent ces réflexions, proposent des « outils » que chaque personne doit évidemment adapter à la situation qu’elle vit, dans son milieu de vie familiale, professionnelle ou sociétale et en fonction de son activité, de son âge, de son propre métabolisme (individuel pour chaque personne).
EN CAS DE PANDÉMIE…
Notre mécanisme de défense
L’organisme est équipé de mécanismes de résistance qui ont la capacité de le protéger contre tous les types d’agents pathogènes. Cette propriété s’appelle l’immunité. Elle est assurée par deux lignes de défense :
- la 1ère ligne de défense contre l’invasion de micro-organismes responsables de maladies est constituée par la peau et les muqueuses. Elle est non spécifique,
- la 2ème ligne de défense se situe au niveau de la réaction inflammatoire. L’inflammation empêche la propagation des agents toxiques dans les tissus, élimine les débris cellulaires et les agents pathogènes, amorce les premières étapes du processus de réparation d’une pathologie.
Nos cinq microbiotes (intestinal, cutané, buccal, vaginal, pulmonaire) sont la base de notre défense immunitaire
Le système immunitaire est le coordinateur des mécanismes de survie. Il nous impose de prendre en compte toutes les inter-relations existantes au sein de l’organisme.
Retrouver ses capacités immunitaires
Si l’alimentation est l’élément de base de la prévention de toute maladie, cela est particulièrement vrai dans le cas du système immunitaire. En présence de toute situation infectieuse, il convient de bien choisir les aliments de son assiette quotidienne : éviter les aliments qui provoquent une surcharge de travail digestif et privilégier l’alimentation hypotoxique qui favorise la restauration des défenses de l’organisme.
Recommandations générales en cas d’états infectieux
- À éviter, les « ennemis alimentaires » du système immunitaire :
les boissons excitantes, gazeuses et sucrées
les boissons alcoolisées fortes, apéritifs, digestifs
le sucre raffiné sous toutes ses formes, le sirop de maïs, d’orge ou d’autres céréales
les ragoûts, les sauces de l’industrie agroalimentaire
les aliments en conserve
les matières grasses chauffées, fritures, panures, chips…
les graisses saturées (des viandes rouges en particulier)
les charcuteries, le lard, les pâtés, les saucisses
le café, le café au lait
le lait de vache, les fromages gras
les cuissons au barbecue, à l’autocuiseur, à la friteuse, dans des récipients en aluminium
les céréales glutineuses
Les aliments prêts-à-manger contenant des substances ajoutées, issues du gluten et utilisées sous les appellations d’ »agents agglomérants », « amidon de céréales », « amidon modifié », « épaississant modifié », « liant protéinique végétal », « matière amylacée »…, -c’est-à-dire tous les aliments hyper-industrialisés- sont à éliminer définitivement pour avoir un organisme sain, solide, apte à utiliser son système immunitaire en pleine efficacité.
et…
- À éviter, les « ennemis hygiéniques » du système immunitaire :
- l’angoisse, l’anxiété : des conditions psychologiques à corriger avec l’aide d’un professionnel,
- l’agitation, le stress permanent,
- le tabagisme : un des pires dangers pour la santé pulmonaire et respiratoire,
- la sédentarité, qui provoque un affaissement des réponses immunitaires
- l’hyperactivité, un état psychosocial devenu un danger sociétal.
- les addictions multiples (jus concentrés, aliment spécifique, sport, jeux, loteries…)
et…
le déséquilibre acido-basique qui favorise l’éclosion des maladies inflammatoires et infectieuses
- À utiliser les « amis alimentaires et complémentaires » du système immunitaire :
- les aliments crus, « vivants », c’est-à-dire non dénaturés, biologiques
- les jeunes pousses et germinations, le germe de blé
- tous les aliments frais riches en prébiotiques : pissenlit, chicorée, endive, oignon, ail, poireau, asperge, topinambour, …,
- la plupart des plantes aromatiques
- la myrtille, l’airelle, le bleuet canadien
- les AGE des bonnes huiles vierges (noix, onagre…)
- les huiles de foie de hareng et de requin
- le saumon sauvage, maquereau, hareng, les olives noires préparées à l’ancienne, sans additifs
- le fer : l’artichaut, l’asperge, le brocoli, le chou de Bruxelles, l’oeuf bio (si possible oméga 3), les algues marines, la fraise, la noix du Brésil, la lentille,
- les céréales entières non glutineuses, non blanchies
- la betterave rouge, de préférence crue
- les champignons asiatiques (shii-ta-ké…)
- l’eau citronnée
- 3 vitamines : A, C, E – selon le dosage recommandé en période d’infection
- 3 oligo-éléments :
Sélénium (asperge, ail, oeuf, levure de bière),
Zinc (haricot vert, noix, huîtres, graines de courge et de tournesol),
Germanium (ail, algue, ginseng, cresson de fontaine)
- Certains minéraux présentent une spécificité intéressante, par exemple :
l’Or a une affinité vis-à-vis du BK tuberculeux,
l’Argent, vis-à-vis du gonocoque,
l’Étain, vis-à-vis du streptocoque
et le complexe Cuivre-Or-Argent, généralement considéré comme un remède colloïdal polyvalent.
3 plantes : l’échinacée, l’astragale, l’extrait de feuille de l’olivier (oleuropéine) sont réputées pour corriger les états infectieux
- À utiliser les « amis hygiéniques » du système immunitaire :
- les exercices sur le « rebondisseur » (trampoline),
- le rééquilibre acido-basique à la base de la restauration de la santé.
- Le peroxyde d’hydrogène et les états infectieux
La bouche est une porte d’entrée importante d’agents infectieux, de contaminations les plus diverses. Effectuer des gargarismes de peroxyde d’hydrogène (qualité alimentaire) à 3 % est très recommandé : 1 à 2 cuillérées à soupe de peroxyde d’hydrogène à gargariser pendant 3 à 5 minutes. Ensuite, cracher le liquide puis rincer la bouche à l’eau tiède. Renouveler 3 fois par jour, chaque jour, pendant une semaine (prolonger si nécessaire).
Recommandations et suggestions en cas de pandémie
Les maladies infectieuses sont d’origine bactérienne ou virale. Elles peuvent être contagieuses ou non. Les agents responsables d’infection sont nombreux : bactéries, virus, protozoaires, champignons… Ils peuvent être spécifiques (bacille d’Éberth : typhoïde) ou non (staphylocoque responsable de la méningite, d’ostéomyélite ou de pneumonie).
Une infection se développe sur un organisme en état de déficience.
Différentes réactions sont mises en œuvre par l’organisme pour lutter contre l’agression :
– localement (fonction de phagocytose des globules blancs)
– généralement (formation d’anticorps et apparition de l’immunité réactionnelle).
Infections des voies respiratoires : rhume et grippe, bronchite, pneumonie, amygdalite et pharyngite, otite, sinusite, conjonctivite
Infections urinaires : cystite, néphrite…
Infections gastro-intestinales : colite, candidose, putréfaction intestinale…
Autres infections : zona, tétanos, bactérie mangeuse de chair…
Nutrithérapie
- Veiller à la présence de protéines dans l’alimentation (spiruline, chlorelle par ex. qui peuvent être des compléments protéiques très intéressants)
- Prévoir une diète au bouillon de légumes, aux betteraves rouges crues et carottes crues, ou jus de légumes frais
- Kyolic liquide (Quest), 30 gttes x 3 / jour – Miso (chaque jour) – Curcuma – Ail cru – Oignon cru
- Propolis – Pollen (Superdiet), 2 amp. / jour pendant 10 jours, renouveler la cure 2 sem. plus tard
- LB-II (PariNat), 2 comp. X 3 / jour
- Squalamine (tissu stomacal du requin), antibiotique naturel efficace contre un certain nombre de bactéries, champignons et parasites et recommandé pour divers états infectieux.
- Plasma marin de Quinton (BiOcéan en France, Actimar au Canada)
Supprimer temporairement : produits laitiers de vache, sucres, confitures, charcuteries, poissons, gâteaux, pâtisseries, ketchup, mayonnaise, sauces, blé, fritures, panures, aliments caramélisés…
Éliminer : gelée de maïs, jus de fruits industriels, boissons gazeuses
Hygiène
- D’abord l’hygiène générale : hygiène des mains, hygiène stricte de ce qui est porté en bouche
- Lavement rectal ou hydrothérapie du côlon pour vider l’intestin de ses déchets et régénérer la flore intestinale de barrière
- Cataplasme (argile, chou, aux H.E., élaboré avec une solution de chlorure de magnésium naturel (Nigari)…)
- Favoriser la transpiration cutanée (bouillotte, enveloppements, sauna…)
- Lavement des aliments avec peroxyde d’hydrogène (qualité alimentaire) ou trempage des légumes dans une solution de vinaigre de cidre, avant leur préparation culinaire.
- Exposition au soleil : le soleil est thérapeutique lorsqu’il est utilisé intelligemment et régulièrement.
- Prendre soin de son microbiote (les bactéries intestinales qui oeuvrent pour notre bien-être)*.
Aromathérapie
- Massage de la poitrine et du haut du dos, avec 10 gouttes d’H.E. de Laurier noble (Laurus nobilis) mélangé à 30 ml d’huile végétale (alterner les zones d’application pour éviter un effet irritant sur les peaux très sensibles).
- E. de Lavande (Lavandula angustifolia), Origan (Origanum compactum), Thym (Thymus vulgaris geranioliferum), de Pin (Pinus sylvestris).
- Séance bi-quotidienne de Bol d’Air Jacquier (appareil ultra-performant utilisant l’H.E. de térébenthine, du laboratoire Holiste, 7110 Artaix – France).
- Utilisation de suppositoires aromatiques :
- Laurier noble (Laurus nobilis) 3 gouttes
- Eucalyptus (Eucalyptus globulus) 3 gouttes
- Mélaleuque à feuilles alternées (Tea tree – Melaleuca alternifolia)) 1 goutte
- Thym à thymol (Thymus vulgaris) 1 goutte
Selon les cas jusqu’à 6 suppositoires les trois premiers jours et ensuite 3 suppositoires durant les 6 jours suivants.
Les suppositoires aromatiques agissent comme antiputrides intestinaux, bactéricides et virucides. L’administration de suppositoire est efficace après une irrigation du côlon ou un double lavement rectal bien pratiqué.
- « Gouttes aux essences« (Laboratoire Pierre Fabre) un remède inventé pour les affections bronchiques aiguës par le docteur Louis Sevelinge, pharmacien, fondateur du laboratoire Phytaroma créé en 1950.
Phytothérapie
- Paú d’Arco Lapacho (écorce d’un arbre des régions de l’Amazonie).
- Origan (Origanum vulgare), thym (Thymus vulgaris), sarriette (Satureia montana), cannelle (Cinnamomum zeylanicum), clou de girofle (Eugenia caryophyllata), sont les tisanes les plus appropriées des états infectieux
- Échinacée (Echinacea angustifolia) un « booster » classique de la défense immunitaire
Oligothérapie
- Cuivre (Cu) et Cuivre-Or-Argent (Cu-Au-Ag)
- Magnésium (Mg), la meilleure médication pour augmenter la résistance des cellulles.
- Chlorure de magnésium naturel (MgCl2) (Nigari), un anti-infectieux utilisé déjà par le professeur Delbet, il y a 100 ans qu’il appela le remède de la cytophylaxie.
- Iode (I), 1 gtte d’iode pour 10 kg de poids corporel dans du “lait végétal » de riz, d’amande ou de coco X 3 / jour
Homéopathie
Pour toute inflammation – reconstruction des défenses de l’organisme :
- Gelsemium 7 CH (Boiron) : fatigue, céphalées avec paupières lourdes et toux
- Bryonia alba 7 CH (Boiron) : forte toux, douleurs de la poitrine et de la tête
- Eupatorium 7 CH (Boiron) : contractures musculaires généralisées et douleurs des globes oculaires
- Pyrogenium 7 CH (Boiron), états infectieux avec fétidité de toutes les secrétions
- Echinacea M. (Boiron), (la “pénicilline” homéopathique)
- CalendulaM. (Boiron), remède des plaies et infections, antiseptique local en usage externe surtout
- R1 (Reckeweg), remède de toutes inflammations, 10 gttes X 3 / jour
- R93 (Reckeweg), fortifiant immunitaire, 15 gttes X 2 / jour
- Galium-Heel (Heel), 10 gttes x 3 / jour
Infections bactériennes : R87 et R94 (Reckeweg), en applications sur les coupures, écorchures
Infections fongiques : R82 (Reckeweg), candidose
Infections virales : R88 (Reckeweg) – Engystol (Heel)
Infections urinaires : R18 (Reckeweg), inflammations reins, vessie
Infections grippales : R6 – R55 – R88 (Reckeweg)
Thérapie manuelle
Acupressure de la dépuration (réflexologie manuelle sur certains points d’acupuncture)
– 7 Reins – 4 Gros Intestin – 8 Foie
AUTRES THÉRAPIES, peu utilisées parce que peu divulguées, mais pourtant utiles et efficaces :
Lithothérapie, Une thérapie réalisée à partir de roches et minéraux.
Bornite D8 : effets anti-infectieux et anti-inflammatoires.
Magnétothérapie
Champs magnétiques pulsés.
Une approche thérapeutique issue des principes fondamentaux de la médecine quantique.
Des « programmes » neurologique, antalgique, détoxifiant, de biostimulation, cicatrisant ou anti-inflammatoire sont à choisir selon les états.
Aimantothérapie
Utilisation de « Magnets », d’Aimants, de ceintures magnétiques permettant à l’énergie de re-circuler en accord avec le rythme vital propre à chaque personne.
Des paramètres établis d’après les travaux les plus récents obtenus en électro et neurophysiologie.
Sels de Schüssler
Calcarea sulfurica, si suppuration et écoulement prolongés, un bon purificateur sanguin.
Ferrum phosphoricum, remède des premiers soins en cas de fièvre, transporteur d’oxygène.
Argilothérapie (les silicates d’alumine)
Il s’agit d’une pratique coutumière ancienne reprise par la médecine moderne. Parmi les différentes catégories d’argile, les smectites et les kaolinites sont les plus actives pour absorber aisément et rapidement de nombreux virus. Lors de la dernière épidémie de choléra en Europe en 1905, c’est l’argile kaolinite qui fut la vedette.
Lorsque l’argile est administrée dans l’estomac vide du malade, la nausée cesse immédiatement, le patient ne vomit plus, la fièvre baisse rapidement et un besoin de dormir profondément survient avant la rémission complète. Le protocole utilisé est l’abstention de nourriture pendant 18 à 24 heures. Une contre-indication à observer : les silicates d’alumine ne doivent pas être utilisés par voie interne en cas d’insuffisance rénale grave, en cas d’antécédents d’occlusion du tube digestif.
Ne pas consommer d’huile ou de matière grasse dans les heures qui précèdent ou qui suivent l’absorption d’argile. Les silicates d’alumine font partie de notre futur : ils sont sous les feux de l’actualité de la recherche, en tant que nanoparticules.
Vitaminothérapie
A, 1600 UI / jour
C, 2 à 3000 mg / jour
Remède d’Edgar Cayce
Atomidine, quelques gouttes diluées dans un verre d’eau
Ozonothérapie
Divers protocoles très efficaces sont utilisés par des thérapeutes qualifiés,
L’ozone médical utilisé intelligemment offre des résultats souvent très rapides et durables même dans des situations où diverses thérapies (conventionnelles et alternatives) n’ont eu que des améliorations mitigées et temporaires.
Spiritualité
La santé du corps ne devrait pas être déconnectée de la santé de l’âme, de l’esprit, du mental.
N’avons-nous pas un corps physique, psychique, émotionnel, spirituel ?
Méditation, prière… ont des effets bénéfiques démontrés sur la santé.
Le Dr Andrew Newberg, directeur du Centre Myrna Brind pour la santé intégrative de l’hôpital universitaire Thomas Jefferson aux États Unis est l’auteur de « How God Changes Your Brain ». La pratique spirituelle fait du bien à notre cerveau. De ces études, nous pouvons retenir les effets positifs des prières traditionnelles, de la méditation ou la réflexion contemplative, de la pensée positive (affirmation de propos édifiants ou valorisants) de la fréquentation de lieu de culte pour prier ou chanter avec un groupe, une communauté,
- La prière stimule le lobe frontal et prévient le rétrécissement lié au processus de vieillissement.
- La prière agit au niveau du cortex antérieur, développe l’empathie et la compassion pour les autres, établit une connexion d’amour avec le divin et avec la vie.
- La prière réduit l’activité du lobe pariétal, ce qui aide à oublier ses problèmes et peut réduire la douleur de façon significative
- La prière a un impact modérateur sur le système limbique, c’est-à-dire contre les émotions négatives, la colère, la peur, l’anxiété, la dépression, le pessimisme.
Les travaux du Dr Newberg montrent que plus l’activité cérébrale dans le lobe pariétal et le système limbique est atténuée plus l’activité dans le lobe frontal et le cortex antérieur augmente, ce qui donne comme résultat qu’on se sent plus heureux et en forme, tant physiquement que mentalement.
Ce pressentiment exprimé par des thérapeutes de santé globale vient de trouver une explication et une confirmation dans l’étude universitaire américaine du Dr Newberg.
On peut dire que la prière et les pratiques spirituelles saines augmentent l’activité dans les régions de de notre cerveau qui sont les plus utiles pour accomplir notre chemin terrestre et diminuent l’activité cérébrale dans les régions qui sont les moins utiles et même nocives pour notre épanouissement.
Note importante : Toutes les suggestions énoncées ci-dessus sont des aperçus de la richesse des médecines du monde. Abandonnons le dogmatisme qu’on veut nous imposer dans toutes les disciplines médicales et choisissons intelligemment les médications qui conviennent à notre individualité. Ne sommes-nous pas tous différents ? Par exemple, le jus de citron est une merveille de la nature, mais ne convient pas aux personnes frileuses, déminéralisées par exemple…). Toutes les techniques énoncées ici doivent être choisies et utilisées en fonction de l’individualité de chaque personne et évaluées avec la collaboration de votre médecin ou de votre thérapeute si vous êtes dépourvu d’accompagnement médical.
Les informations de cette « lettre« sont publiées à titre purement informatif et ne peuvent être considérées comme des conseils médicaux personnalisés. Aucun traitement ne devrait être entrepris en se basant uniquement sur le contenu de cette lettre, et il est fortement recommandé au lecteur de consulter des professionnels de santé dûment homologués auprès des autorités sanitaires pour toute question relative à leur santé et leur bien-être.
Parmi les informations quotidiennes qui envahissent les média parlés, télévisés ou les réseaux sociaux, il y a autant de signes d’espoir que de signes de désespoir… Faisons lucidement le bon choix de nos média – celles qui nous abreuvent d’informations inutiles, de scandales, de vedettes et de futilités ou celles qui nous responsabilisent et élèvent notre conscience individuelle et collective : l’avenir sera ce que nous en ferons, par nos choix et nos comportements.
Dr Jean-Claude Rodet
New-York Academy of Sciences – 1980
University of Natural Medicine – 2000
IN.N.E.R. Réseau International des ÉcoRégions (Conseiller Scientifique) – 2017
*Note à propos du microbiote et de ses bactéries :
Ces bactéries ne sont pas des intrus, mais elles font partie de nous-même.
Prendre soin de ces « populations invisibles » qui nous habitent, voilà un des plus grands défis de la médecine scientifique du XXIème siècle.
Vitalité, immunité, longévité, énergie physique et psychique… l’essence de la vie réside-t-elle dans nos entrailles ? C’est ce que pressentaient les plus anciens courants de la santé comme l’ayurveda, la médecine chinoise ancestrale ou les principes d’Hippocrate.
Depuis une quinzaine d’années, le microbiote -nouveau nom pour désigner la flore intestinale-, fait l’objet, presque chaque semaine, de nouvelles études qui attestent les intuitions des médecines traditionnelles, réconciliant ainsi la science moderne et les savoirs ancestraux.
Il faudra encore des années, peut-être des dizaines d’années, pour décrypter et comprendre la complexité de l’écosystème intestinal qui héberge quelques 40 000 milliards de bactéries, d’un millier d’espèces différentes, avec chacune leurs particularités, leurs fonctions, leur habitat, leurs interactions, leur production de métabolites…
Chaque groupe a sa fonction particulière : décomposer les fibres, les transformer en énergie pour les cellules de l’intestin (les entérocytes), fabriquer des vitamines essentielles (B, K…), éliminer les toxines et encore… stimuler le système immunitaire.
L’étude du microbiote amène une véritable révolution de la science. Depuis les années 1995, j’enseigne à prendre soin de cet univers où se trouvent (certainement) 80 % des défenses immunitaires de l’organisme.
- Bien nourrir son microbiote : une alimentation riche en fruits et légumes frais, consommer des aliments riches en fibres,
- Se protéger des polluants de notre environnement : pesticides, métaux lourds, perturbateurs endocriniens… les pires agresseurs de notre microbiote.
Les spécialistes retiennent souvent 3 vedettes de bactéries intestinales : des Bifidobactéries antitumorales, anti-inflammatoires, anti-vieillissement parmi lesquelles on peut citer « Christensenellacea », « Akkermansia municiphila », les 2 bactéries présentes chez les supercentenaires qui se retrouvent associés aux bactéries lactiques (Bifidobacterium) bien connus des chercheurs.
Les huiles essentielles représentent une avenue de choix pour le maintien de l’équilibre de notre flore intestinale, dans une double action : elles combattent les bactéries pathogènes, mais aussi elles protègent celles qui nous sont bénéfiques.
Des bactéries intestinales bénéfiques, infectées, seraient-elles la cause de l’hyper-réaction immunitaire qui délabre et tue les personnes infectées par une bactérie devenue pathogène, la Prevotella.
Une infection au niveau intestinal est beaucoup plus dramatique que celle qui se manifeste au niveau de l’appareil respiratoire.
La bactérie qu’on retrouve dans les selles, contenant de l’ARN du Covid et même parfois des virus vivants prend le relais de l’attaque initiale (bénigne au niveau pulmonaire) et peut devenir dramatique au niveau intestinal en déclenchant une hyper-réaction immunitaire inflammatoire qui « noie » les poumons et projette vers l’issue fatale : la mort.
Le bon microbiote est encore peu connu, mal connu. Son équilibre intestinal est fragile. Le mot-clé dans ce domaine, c’est la diversité alimentaire pour avoir de bonnes défenses immunitaires (voir les conseils « amis alimentaires », présentés précédemment).
Les recherches sur le microbiote n’ont pas fini de nous étonner et vont nous permettre de soigner des maladies rares, des épidémies, des pandémies… mais aussi de renouer les liens oubliés de notre nature profonde d’être vivant qui héberge et abrite d’autres êtres vivants : le microbiote.
Prendre soin de son microbiote intestinal nous amène aussi à prendre soin de nos autres microbiotes cutané, buccal, vaginal, pulmonaire.
Ainsi nous avons avec cette approche globale (holistique) une protection efficace grâce à un système complet très cohérent de la santé dans sa totalité.
*En cas de confinement prolongé, quelques recommandations de bon sens
Quelles catégories d’aliments à posséder chez soi pour s’alimenter convenablement pendant une période de confinement prolongé ?
La seule règle de bon sens, c’est de sélectionner les aliments qui présentent une bonne densité nutritionnelle.
- Parmi les corps gras, alterner l’huile d’olive, la vedette du régime méditerranéen, l’huile de colza et l’huile de noix
- Parmi les protéines marines, privilégier les morues / cabillauds : des poissons des mers froides
- Parmi les condiments qui détoxifient choisir la vraie moutarde de Dijon (sans sucre), l’ail, l’oignon, le curcuma, riches en antioxydants protecteurs
- Parmi les protéines végétales, les noix, amandes, noisettes, graines de tournesol, de sésame, de lin, sont des intéressantes sources de minéraux
- Parmi les graines de céréales, le quinoa, le sarrasin, le millet, dépourvus de gluten encrassant et perturbateur pour de nombreuses personnes sensibles
- Parmi les légumes, préférer les « légumes racines » de meilleure conservation : betterave rouge, carotte, citrouille, oignon
- Parmi les fruits, choisir les variétés anciennes et locales de meilleur potentiel nutritif. La pomme est la vedette pendant une grande partie de l’année
- Parmi les champignons, à défaut de champignons sauvages locaux bien identifiés, préférer les champignons asiatiques (shii-ta-ké)
- Parmi les lactofermentations, choisir la choucroute bio crue préparée selon la méthode traditionnelle
- Parmi les légumineuses, sélectionner les lentilles, pois chiches, consommées de préférence après germination
Et pour couronner le tout, ajouter une formule de symbiotique (prébiotiques + probiotiques) afin d’optimiser la fonction essentielle des microbiotes : buccal, intestinal, vaginal, cutané, pulmonaire…
Note à propos des solutions hydroalcooliques (S.H.A) « imposées » sans discernement
L’usage répété de solution hydroalcoolique désinfectante semble avoir été accepté passivement et sans réflexion par le public.
Les effets néfastes sur la santé humaine sont présentés comme négligeables. Mais négligeables ne veut pas dire inexistant : irritations, allergies, état de somnolences, agitation, maux de têtes, nausées, vertiges et même ébriété chez les enfants !
Consulter :
- Richard P, Saviuc P., Produits hydro-alcooliques destinés à l’usage cutané : étude rétrospective des cas d’intoxications recensés dans les CAPTV en 2009 [archive], comité de coordination de toxicovigilance, septembre 2010
- (en) Multigner L., Ben Brik E., Arnaud I. et al., « Glycol ethers and semen quality: a cross‐sectional study among male workers in the Paris Municipality » [archive], Occup. Environ. Med. 2007;64:467–473. PMID 17332140 [archive]
- Norest S, Gel antibactérien : soyez prudent ! [archive], 31 juillet 2013, sur le site de l’Association santé environnement France (ASEF).
L’usage répété de solution hydroalcoolique peut être à l’origine de dessèchement, d’irritations ou même crevasses de la peau.
Comment faire face à cette situation chez les personnes sensibles ?
Voici une recette efficace à faire soi-même (DIY – Do It Yourself)
- Beurre de coco ou de karité : adoucissant de la peau,
- Huile d’olive (bio évidemment) : nourrissement de la peau,
- Miel bio liquide : apport vitamino-minéral.
Mélanger les 3 ingrédients à parties égales jusqu’à obtenir une consistance onctueuse et homogène et appliquer soigneusement sur les zones à protéger.
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